Poème de guerre

Les tambours de guerre battaient la mesure,
Alors que DrAnts et TD prenait les mesures.
Pour orchestrer cette grandiose guerre
Et ainsi conquérir de nouvelle terre.

Des camarades de combat nouveaux,
Marchait au pas à ses côtés.
Certains avaient délaissés leur troupeau,
Pour se réunir tous à leur côté.

Oui, leur troupeau avait été délaissé,
Car de leur champ, il était venu.
Leur attirail de ferme oublié,
Les guerriers étant été prévenus.

Car fourches et foin ne sont points utiles,
Aux guerriers qui font la guerre.
Car il faut user de nouveaux ustensiles,
Pour que le monde tombe sous une nouvelle ère.

Car ces combattants en ont ainsi décidé,
Que le monde devait changer.
Les anciennes discordes oubliées,
S’unissant tous ensemble pour s’aider.

L’alliance qui surprise le monde,
Par l’origine de ces membres.
Comptais sur la cohésion de ces membres,
Pour espérer changer le monde.

Pas mal, keira...
Je te tire mon chapeau, j'apprécie les Ablatifs Absolus ;p

En passant, " ayant été prévenus " ;p
Mais sincèrement, c'est pas mal du tout ^^

J'ai faillit coriger dark mais je me suis dit que la poesie était créatrice de langues et d'expressions alors bon...

C'était ,la version non modifié, car dans la vrai, tout est ok.

Les navires aux sombres voiles,
Mouillaient tous dans la baie.
Il y avait longtemps dans la baie,
Qu’une montée ne fut faite des voiles.

Sous la douce nuit étoilée,
Le Capitaine à la barre,
Attendant la prochaine épopée
Où il pourrait de nouveau se tenir à la barre.

Il y avait si longtemps déjà,
Que son équipage n’avait vu la mer.
Il y avait si longtemps déjà,
Que le navire n’avait fendu les eaux de la mer.

Combien de combat avait-il fait,
Au commande de ce si beau navire?
Combien de bataille et de hauts faits,
Avait traversé cet équipage et ce navire?

Le Capitaine fit réveiller l’équipage.
Le Capitaine ordonna de lever l’ancre.
Le Capitaine écrivit de sa plus belle encre,
Une missive à envoyer aux autres équipages.

Hisser la grande voile s’écria-t-il!
Direction la demeure de nos ennemis!
Ces ennemis qui mouillent aux îles.
Combattons jusqu’à nos dernières forces ces ennemis.

L’aube se lèvera rouge ce matin.
Pour certains, il s’agissait du dernier voyage.
Tout canon sorti, épée à la main
Combattant leur ennemi avec courage.

Le dentiste et ses hommes,
Le Vizir et ses hommes,
Ainsi que la compagnie,
S’unir pour se tenir compagnie.

Ils volèrent la fortune,
Et gagnèrent mauvaise fortune.
Car s’unirent les pirates.
La mer est nôtre dirent les pirates.

Sa puissance coule en nos veines.
Votre espérance est vaine.
Nous la parcourons depuis toujours.
Et votre espérance est vaine en ce jour.

Car, la mer est à nous.
Sa puissance est à nous.
Tous ensembles comme jamais,
Les pirates ne mourront jamais.